09/02/2022
Bonjour à tous, hier Raphaël est revenu sur le bateau après de longues
péripéties de baroud et donc nous entamons le blog d’aujourd’hui avec de la biologie sur St Martin.
Déjà, les îles ne sont pas comme le continent, car les écosystèmes sont bien plus fragiles et les
animaux qui y vivent sont là grâce à la sélection naturelle, mais l’homme vient souvent les perturber
comme à St Martin car ici les rats furent amenés par les colons et ont ravagé les plantations. Pour
effacer leurs erreurs, ils ont amené des mangoustes. Celles-ci ne mangent pas seulement des
rats mais aussi des iguanes, elles en ont grignoté 3 espèces jusqu’à extinction, on appelle ça des
espèces invasives. il y a aussi eu la même chose en Bretagne spécialement dans le golf du Morbihan
avec les ragondins qui eux ont été amenés du Brésil en France pour créer des fermes
de fourrure, mais ce n’était pas productif donc ils ont été relâchés dans la nature et jusqu’à aujourd’hui
le problème n’est toujours pas résolu. Mais aussi n’oublions pas le Hutia Géant, une espèce de rongeur qui vivait à l’emplacement de
St Martin quand celle ci était regroupée avec St Barth et Anguilla et elles formaient une énorme
île qui fut malheureusement inondée donc cette espèce n’avait pas assez de ressources pour vivre
avec ses 200 kilos, et n’a pas eu le temps de s’adapter et s’est éteinte.
Sur une île, deux phénomènes peuvent apparaître pour la taille des individus : soit une nouvelle
espèce se met à grandir de plus en plus telle que le Hutia, car elle n’a plus besoin de se cacher des
prédateurs qui sévissent sur le continent. Soit au contraire, par faute de ressources alimentaires
suffisantes comme le mouton d’Ouessant, ses individus vont devenir plus petits.
Comme l’a dit Youri, l’énorme île s’est divisée il y a 120 000 ans en St Martin, St Barth et Anguilla
trop rapidement pour que ce pauvre rongeur ait le temps de s’adapter, chaque île faisant moins
de 2% de la surface totale disponible avant. Question de Youri : Comment dater des temps aussi
lointains ? Nous étudierons la désintégration des isotopes du carbone dans une session avec
internet…
Pendant que Raphaël écrit son texte, il m'a donné la mission de corriger les fautes d'orthographe qu'il a commis exprès pour l'occasion.
Deux puits qu’eux jeux soui partie, je noeuds ces plut hékrire coréctemment. J’ai passer acer de temp a raiphlaichir, j’espère queue tuva trouvez mais mauvaises conjuguaisons daim cou éléphant t’astiques fôtes d’autograve !
Correction :
De puis que je suis parti, je ne sais plus écrire correctement. J’ai passé assez de temps à réfléchir, j’espère que tu vas trouver mes mauvaises conjugaisons d’un coup et les fantastiques fautes d’orthographe.
Puis nous avons fait un exercice en physique qui consiste à évaluer la durée que Colin Whitbread a
mis pour surfer le mascaret de la rivière Petitcodiac au Canada. Il a surfé sur 20 km à 29 km/h et nous
avons dû calculer le temps qu’il a mis. Après un calcul assez simple nous avons trouvé 87 mins ce
qui fait 1h27.
Enfin pour finir en beauté un peu d’inégalité sans trop se presser, et puis après j’ai rédigé les formules
de vitesse temps et distances en plus des formules d’inégalité sur le fameux cahier des formules.
15 vélos... en supposant qu'ils n'aient pas de petites roulettes
RépondreSupprimer