10-11/05/2022
Bonjour à tous, nous sommes actuellement toujours bloqués au port jusqu'à demain car nous devons réparer le bateau, je vous épargne les détails.
Pour commencer ce blog, nous avons fait le travail personnel sur kwyk puis en voguant sur les mers infinies des mathématiques, nous avons fait de l'entraînement additionnel sur kwyk car comme Raphaël dit “ On ne pourra jamais trop faire de Mathématiques”.
Maintenant, place au Français avec une question “ Selon vous, doit-on décrire et raconter l’horreur de la guerre”.
Pourquoi raconter, pourquoi décrire, comment faut-il interpréter l’apprentissage de la guerre dans les écoles et autres selon moi? y a-t-il une limite que nous ne devons pas franchir, Faut-il décrire jusqu'à dégoûter les élèves ou autre de la guerre ou faut-il inspirer le patriotisme?
Bien sûr qu'il faut éduquer le monde sur l'horreur de la guerre et les fautes à ne pas reproduire dans le futur. Mais à la fois il faut se demander si le but réel est de faire peur ou d'influencer un certain point de vue de la guerre.
Oui il faut sensibiliser, oui il faut raconter l'histoire pour espérer que le monde ne reproduise pas les mêmes erreurs cependant, il faut savoir mettre une limite sur les images qui peuvent dégoûter, créer une phobie ou pousser la population mondiale à tout le temps espérer la paix, une paix qui est selon certaines personnes la meilleure solution , une solution utopique mais qui peut détruire moralement la population des pays concernés. Prenons la guerre en Ukraine, devant toutes les punitions économiques que la Russie subit, on a tendance à oublier vers qui elles vont, le gouvernement, bien sur que non, elles affectent la population russe qui elle ne veut pas la guerre, qui elle manifeste sous risque d'emprisonnement soit 13 000 personnes interpellées par la police russe lors de manifestations, qui elle n’a plus accès à des ikéa soit 15 000 employés au chômage suite à l'arrêt de ses magasins ou des téléphones ou du prix des produits vitaux qui se multiplient sans arrêt…
C’est comme ça qu’on va arrêter la guerre?
Je ne souhaite pas la guerre, personne ne la souhaite, mais étant des personnes civilisées, je trouve que l’on peut quand même trouver de meilleures solutions.
Je me suis peut être emballé mais voilà, je vais faire court.
Pour conclure, je trouve que dans les guerres, il y a des morts, il y a des horreurs, il y a des crimes contre l’humanité. Mais plus on effraye la population en général, plus on crée une phobie, une phobie qui elle ne voudra jamais espérer autre chose que la paix sans même penser aux conséquences que ses actions auront sur nos frères et sœurs qui vivent sur la même terre qu’eux. Je ne suis pas pour la guerre mais je suis pour trouver une solution équitable pour tous que ce soit pour les militaires, les populations ou le gouvernement. Je sais que ce n’est pas facile, mais si on arrive à créer des armes à la pointe de la technologie pour détruire pourquoi pas en créer pour recomposer et opter pour une solution plus juste et plus pacifiste.
Vu que demain nous allons traverser le cape cod canal, parlons de son histoire.
Le cape cod canal mesure 11,3 km de long sur 150 m de large, le courant peut atteindre une vitesse de 8 km/heure. Le canal économise 217 km de détour pour arriver dans la baie du Maine et Boston.
Les premiers essais furent réalisés en 1717, mais il n'a pas abouti, comme tous les autres jusqu'en 1916 par William Barclay Parsons. ils ont quand même eu beaucoup de problèmes durant la construction dont des roches arrivées pendant l’air glacière et des tempêtes glaciales.
Faisons un peu de physique sur le débit que le canal de cap cod possède en le comparant avec d'autres fleuves ou barrages.
Le résultat trouvé est basé sur des données d’internet, mais ce n’est pas forcément les données actuelles. Il y a beaucoup d’approximations, notamment quand nous considérons le canal parallélépipédique, avec une profondeur et une largeur constantes.
Sachant que le courant du canal est de 8 km/h au maximum, grâce à la technique du produit en croix j’ai trouvé 2,2 m/s, en le multipliant par la profondeur et la largeur du canal, j’ai trouvé 2310 m3/s ( en débit maximal). Ci dessous se trouvent les débits de fleuves ou barrages connus:
La seine = 2500 m3/s ( débit maximum)
la tamise = 138 m3/s ( débit moyen)
Barrage des trois gorges = 14 300 m3/s ( débit moyen)
Le débit représente la vitesse d’écoulement d’un fluide : plus il est grand et plus il y a d’eau qui circule. Si le débit au début d’une rivière est plus important qu’en sortie (quand la neige commence à fondre par exemple), alors la rivière va gonfler. Sinon, sur une portion faible on peut considérer le débit constant entre l’entrée et la sortie de la portion. On voit alors que quand les rives se rapprochent, la vitesse de l’eau doit augmenter pour que le débit reste identique.
Dans le cas des barrages, le débit en sortie est proportionnel à la masse d’eau au-dessus de la sortie. C’est pour cela qu’un barrage est construit de sorte à avoir une retenue la plus grande possible. Petite expérience avec les moyens du bord :
L’image ci-dessus nous montre deux verres remplis d’eau où l’un possède un trou à son centre et l’autre avec un trou en bas. On aperçois que celui avec le trou en bas à plus de débit
( plus de pression dans le verre) et l’autre à non seulement peu de pression mais l’eau arrêtera au niveau du trou, non jusqu’au bout.
Puis pour terminer un peu de Français avec une dictée sur l'étymologie du mot Antarctique.
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